Pour chacun des changements qui ont eu lieu dans me vie, je me suis fais une raison très rapidement. Je me suis adapté très vite.
Qu'il soit question de me déshabituer rapidement au fait que je n'allais pas continuer à vivre en couple sous certaines conditions, comme au fait que j'allais devoir me lever tôt le matin pour un travail qui n'avait de passionnant que l'intérêt sommaire que je pouvais lui injecter, j'ai toujours voulu m'adapter très vite. Au final, j'en payais le "contre-coût" quelques temps plus tard.
Cette année sera celle de mon indépendence totale. On peut voir sa vie comme une succession de passages, d'une cellule à l'autre, si on veut voir sa vie, comme un total de libertés qu'on aura su prendre, tout en enlevant une. Chaque cellule étant à la fois une entrave aux libertés qui ne nous sont pas encore accessibles, et un écrin pour celle que l'on possède déjà.
Je vais devoir troquer mon confort pour mon indépendence, et même si beaucoup l'auront déjà fait avant moi, je sais que je devrais m'attendre à des jours légèrement gris.
J'ai toujours vécu dans ma chambre, depuis mon adolescence, et ça tombe bien, parce que je vais déménager dans une autre chambre. Intégralement, mon futur lieu de vie. Et à la stupidité d'un tel choix compte tenu de mes moyens encore modeste pour y faire face, en tenant compte du fait que je veuille vivre à Paris, je répondrais simplement qu'un changement en entraine un autre. Je suis prêt à ce sacrifice, parce que ça n'en sera pas un pour moi.
Bon, ça fait très sombre comme post, pous simplement dire que je ne vais vraiment pas tarder à habiter une boite à chaussure parisienne, payée à un prix exorbitant, mais qu'importe : C'est aussi ça, mon blog.
Le temps pour moi de passer mes permis, de m'acheter ma moto, et quelques conneries superflues et hors de prix, et à moi le boulgour !
2009/03/08
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